Quand les poux débarquent

25 octobre 2016

Le premier trimestre est bien entamé, les poux ont aussi fait leur rentrée.

Ils sont la hantise de tous les parents, ils le savent et s'en tamponnent sévèrement je pense. Voire ça les amuse, j'en suis certaine. Pour le moment, nous y avons coupé, mais je ne crie pas victoire.

A la moindre gratouille aperçue je me jette sur la tête incriminée. Et j'essaie de voir si le crâne est habité. Autant je vois les poux (beurk) autant j'ai plus de mal à voir les lentes.

C'est là que Marie-Rose arrive à la rescousse avec un détecteur de lentes. On applique le produit, 2 minutes après elles sont colorées en bleu. Et là, c'est le moment de paniquer ou de respirer.

Si c'est la panique, plusieurs solutions. Ils sont peu nombreux et vous en viendrez à bout avec la gamme Marie-Rose antipoux.
On fait un traitement et on recommence une semaine après.

Mais parfois, cela ne suffit pas. On a toutes en mémoire les propos d'une copine qui ne s'en sort pas, dont les enfants se repassent les poux les uns aux autres.
Pour ces situations et toutes les autres (genre retour de camp scout, de colo, de classe verte... tous ces moments où les enfants rentrent avec une colonie installée) il existe des établissements spécialisés dans le traitement. C'est le cas de bye-bye Nits.
La garantie absolue de ne plus avoir une seule bestiole sur le crâne.
Le principe est simple. Les parasites sont déshydratés puis aspirés. Ensuite, une personne passe le peigne à poux mèche à mèche (avec une patience que je n'ai pas).
Pendant ce temps, les enfants (ou adulte) jouent sur tablette ou dessinent.

Une semaine après, on y retourne pour vérifier que tout est toujours ok.